le blog de Pêche qui présente "ma" (!) pêche à la truite dans le Briançonnais: Vairon manié , mais aussi mes essais à la Nymphe en mouche sèche et même au Toc ou au lancer! "Votre Durance a quasi le diable au corps" Madame de Sévigné
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dimanche 19 juillet 2020
Une constatation....Hasard? Réalité? Qu'en penser?
Pêchant depuis des années les rivières et torrents à 2 pas de chez moi, je fréquente années après années les mêmes parcours une quinzaine probablement que je commence à bien connaître.
Bien sur, selon la technique employée ce ne sont pas les mêmes, (ni selon la saison). En hautes eaux je suis souvent sur les débits réservés en aval des prises d'eau, par exemple, le postes y sont pour moi plus faciles à lire surtout au fouet.
(Note: je pêche toujours aux mêmes heures entre 9h et 12h principalement)
J'ai fait une constatation: ce ne sont pas les mêmes parcours qui me donnent satisfaction.
Pendant un an, 2, ou 3 un parcours est excellent puis les années qui suivent sont médiocres, puis d'un coup le parcours redevient somptueux. Que penser?
-Première hypothèse, ma technique ma vue, mon mental évoluant.. l'explication serait subjective.
C'est possible car selon les moments je ne suis pas particulièrement adroit ni motivé, on y croit: la pêche est bonne on pêche bien. C'est un cercle vertueux. Je vous laisse deviner le cercle vicieux!
-Deuxième hypothèse : objectivement les parcours seraient bien peuplés certaines années et moins d'autres...J'avance un argument possible:
En montagne la Durance et ses affluents sont sujets à des évolutions continuelles du lit, engravement de fosses, ou au contraire affouillement, il me semble possible que suite à un engravement les truites désertent une portion de rivières pour se réfugier là où l'habitat leur convient mieux ( caches et postes de chasse..) .
Note: cette évolution rapide des lits me fascine particulièrement, suite aux crues des blocs de plusieurs tonnes sont déplacés. L'évolution climatique, semble-t-il, vers des étés plus orageux et l'augmentation en fréquence des laves torrentielles accentue le phénomène d'engravement. La multiplication des ouvrages hydrauliques probablement aussi.
A voir..
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La rivière est vivante et nous surprend toujours. Les orages et coulées de boue modifient souvent la rivière. Surtout la Clarée en barrant le lite et en faisant de superbes lames noires de truites.Mais quand on voit les dégats énmormes de juin 2019, pas sûr que les poissons soient gagants...
RépondreSupprimerEn effet...mais l'évolution des lits semblent s' accélérer actuellement.. impressions? réalités?
RépondreSupprimermerci pour ton commentaire